On en réserve l’usage aux peaux mixtes à grasses, chargées, impures, cicatricielles.
Dès lors, ses applications sont nombreuses :
- un peu comme on le fait avec le rhassoul, on pourra la mélanger à l’eau ou à un hydrolat pour en obtenir une pâte qui servira de shampooing-gel douche sans tensio-actifs. Pour éviter une éventuelle sensation de déssechement, on peut ajouter à la pâte une petite quantité d’huile de ricin
- la même préparation convient à la réalisation d'un masque
- on peut l’incorporer à notre gel d’aloès ou à notre crème de base pour le visage, toujours en soin des peaux mixtes à grasses, impures, cicatricielles
- dans la même intention, on peut l’incorporer à notre shampooing-gel douche neutre.
Quelques hydrolats à associer avec la Montmorillonite : le romarin à verbénone, la fleur d’oranger (néroli), le laurier noble, le genévrier, le cyprès, l’inule odorante…
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